Dolph Ziggler en interview.

Il l'aime sa ceinture Doplh Ziggler et il n'est pas prêt de la lâcher! Le titre intercontinental a, en effet, une saveur particulière pour ce fan de Mr Perfect et de Shawn Michaels. Tout récemment il répondait au Poughkeepsie Journal aux questions de Phil Strum:

-Que pensez-vous de votre carrière à la WWE jusqu'à aujourd'hui?
"Aujourd'hui, pour le perfectionniste que je suis, je dirais que je suis juste à peine en retard par rapport à mes plans. J'ai bossé très dur pour être là où je suis, j'ai gérer les choses plutôt bien, et maintenant je suis en place!"

-Vous avez été à l'Université et vous y étiez lutteur amateur. Quand avez-vous pris la décision de devenir catcheur pro? On sait que la WWE a toujours un œil sur les gros matchs amateurs. Est-ce qu'ils vous avaient repéré, ou est-ce que c'est vous qui vous êtes fait connaître d'eux?
"C'est vrai que ça aurait pu arriver comme ça. La WWE, je suis fan depuis mes 5 ans. J'ai assisté à mon premier show vers 14-15 ans. C'est à ce moment là que j'ai voulu devenir comme ces sportifs, à la fois pros et showmen. Alors au Lycée, à l'Université, j'ai travaillé du mieux possible pour m'ouvrir toutes les portes."

-Pensez-vous que le fait d'avoir été lutteur amateur à été un plus pour intégrer le monde du catch pro?
"J'ai participé à des tournois nationaux, et chaque fois que je pouvais mentionner la WWE, je ne me gênais pas! Bien sûr mes bases sont un plus, mais les deux domaines sont similaires, dans l' implication qu'ils demandent, l'abnégation, on apprend tout les jours, et tu n'arrêtes jamais d'essayer d'être le meilleur. Mon travail physique, en ce sens, m'a aussi aidé, et tout ça m'apporte une vraie confiance en mes capacités. J'ai bien bourlingué, et si pas mal d'amateurs de catch tentent leur chance, peu d'entre aux a su comme moi casser des records" (Ziggler est "second all-time in wins" dans l'état du Kent-NdT).

-Vous avez fait partie de la Spirit Squad, à la WWE, et vous êtes frotté à des gabarits comme Triple H ou Shawn Michaels, et puis, vous avez été transféré à la Ohio Valley Wrestling. Après avoir vécu ça, est-ce qu'on se dit qu'on peut encore revenir dans le top? Car pour la plupart des catcheurs de la Spirit Squad, ça a sonné la fin de leur carrière à la WWE.
"C'est toujours flippant de sortir du tableau majeur. Mais, pour ma part, j'étais dans le circuit depuis moins d'un an, et j'étais sûr qu'en bossant sans compter les heures, je pourrais retrouver ma place. J'ai fais un pas en arrière, j'ai bien regardé le business, j'ai appris. J'ai bénéficié de deux-trois entraînements avec les meilleurs, Triple H, Shawn Michaels, Ric Flair, et ça, ça m'a boosté l' apprentissage."

-Lorsqu'on vous regarde, on ne peut s'empêcher de penser au défunt Curt Hennig. Est-ce que c'est un personnage qui vous a marqué?
"Évidemment que j'étais un gros fan de lui. C'était Mr Perfect. Il était formidable. Il était un peu plus grand que moi. Un costaud mais qui bougeait comme un chat. Il avait un vrai charisme, il bougeait formidablement bien, et sur le ring, c'était le patron! Alors, oui, j'étais fan inconditionnel, et c'est honneur que d'être comparé à lui. C'est l'un des tout meilleurs de l'histoire. Mais je ne me calque pas sur lui ou un autre, j'observe beaucoup les catcheurs autour de moi, et puis je me fais mon propre style."

-J'ai lu quelque part que vous regardiez pas mal de matchs de catch. Qu'observez-vous? Quels matchs regardez-vous?
"Shawn Michaels. Il y a 10-15 ans, c'était mon favori. Tout le temps. Qu'il gagne ou qu'il perde. C'était le meilleur. Je n'ai oublié aucun des conseils qu'il m'ait donné. Il était incroyable à regarder, il faisait tout mieux que personne."

-Vous avez pu vous entretenir avec le fils de Curt Hennig, Joe, (connu sous le nom de) Michael McGillicuddy, pendant sa présence à la NXT, à propos de son père?
"Oh oui, tout le temps. On s'est entraîné ensemble pendant un moment, à la Florida Championship Wrestling. Les gens disaient que mes cheveux me faisaient ressembler à son père. On me disait que c'était le catch c'était ma nature. Mais c'est plutôt à Joe que ça vient naturellement, c'est à lui qu'on devrait le dire. Des types comme Randy Orton, des deuxièmes, troisièmes générations de catcheurs, eux, oui, ils ont ça dans le sang. J'ai trouvé que McGillicuddy avait fait un super boulot à la NXT."

-Que signifie le titre intercontinental pour toi? Certains pensent que c'est le premier pas vers la ceinture mondiale.
"Il est très spécial ce titre, pour moi. J'ai eu plusieurs objectifs dans ma carrière. Je voulais établir des records au lycée, je voulais faire une entrée en fanfare à la WWE, intégrer le roster à la vitesse de l'éclair. Je pense que j'aurais pu décrocher ce titre peut être un an plus tôt. Mais c'est un signe que je suis en place, que j'ai le niveau pour aller plus haut encore, comme tous les catcheurs qui ont eu cette ceinture. Et ça assoit mon nom comme l'un des grands de ce milieu."

-Qu'est ce que ça fait de bosser avec Vickie Guerrero?
"C'est génial. On se complète parfaitement. Elle et moi, on fait du bon travail ensemble. Qui se fait plus huer que Vickie Guerrero? Les gens la détestent et moi j'adore ça! Et dans l'idéal, j'aimerais attirer un peu de ses "boos", mais je sais que les gens n'osent pas me le faire parce que j'impressionne..."

-Et ça semble pourtant la meilleure personne avec qui être si tu veux te faire détester.
"Peut être qu'elle pourra me filer la recette."

-Quels seront vos prochains objectifs dans le catch, et à la WWE?
"Honnêtement, je veux être considéré comme le plus grand champion intercontinental de l'histoire. Je veux décrocher la ceinture de champion du monde, je veux devenir le plus grand catcheur showman qu'on ait jamais vu."

-Que peut-on attendre du démarrage de Smackdown sur la chaîne SyFy?
"J'ai vraiment hâte de commencer le show, ce sera le 1er Octobre, et en direct. Et ça va être énorme. J'aime bosser à Smackdown de toute façon. C'est un bon programme (...) pour se faire un nom. Qui peut dire ce que je ferais. C'est du direct, alors je peux tenter ce que je veux sans que personne le sache avant! C'est une super oportunité pour la WWE et son univers."

-Cette semaine est un peu étrange, avec le pré-enregistrement de RAW et le direct de Smackdown.
"Ce sera vraiment cool. On s'affronte toute les semaines devant la foule, mais ça va être encore plus excitant de passer en complet direct à la télé, qui sait ce qu'il peut arriver?"

-Merci d'avoir pris le temps de répondre et on vous souhaite le meilleur pour votre carrière.
"Merci."


Voilà, une entrevue un peu longue mais plutôt sympa avec Dolph Ziggler.


Bannister.
(Si vous récupérez cette interview merci de donner au moins le nom de mon blog, ne serait-ce que pour le travail de traduction...)

Tranche de news : TNA et vieux briscards!

Kurt Angle l'annonce sur son Twitter, c'est fait, le contrat est prolongé d'un an, et même, selon certaines sources, il le serait sur 5 ans: "Je suis là pour un moment! Ou a moins que je ne perde le Bound For Glory, dans ce cas là, je prendrais ma retraite."
Il n'est jamais superflu de mettre un peu de pression quand on est une big star...

Une autre star de la TNA, Kevin Nash, serait elle aussi sur le point de prolonger. Alors que les discussions étaient plutôt tendues voilà quelques semaines, il semblerait que le beau temps soit revenu entre les deux parties, comme s'en fait l'écho le "Big Daddy Cool" sur son Twitter: "J'ai eu un formidable entretient avec Terry Taylor."

Lorsque l'on parle du Nash, on ne peut s'empêcher de penser au WolfPac, et bien nous terminerons cette tranche de news avec Sean Waltman et Scott Hall, le premier qui remercie le juge et la police de Newark pour avoir considérablement allégé sa punition suite à son arrestation pour possession de marijuana, et le second qui remercie, par personne interposée, tous les fans pour leur soutient, et leurs prières de rétablissement, suite aux soucis récurrents de Hall qui l'ont conduit en désintox, le tout par Twitter, j'allais dire, comme toujours!

Et à bientôt pour une nouvelle tranche de news...


Bannister.

Tranche de news: WWE qui plonge et TNA qui se développe!

C'est la deuxième semaine consécutive que l'émission RAW fait des scores médiocres au niveau de l'audience, sous la barre des 4 millions de téléspectateurs, et on commence à se poser beaucoup de questions, du coup, sur la tactique à appliquer pour reprendre très vite la marche en avant.

Pendant ce temps, à la TNA, même si tout n'est pas rose non plus, une très bonne nouvelle pourrait donner ce souffle d'énergie que la compagnie cherche depuis plusieurs mois déjà, matérialisé par une entente avec la compagnie qui marche fort en ce moment au Mexique: la AAA. Jeff Jarrett, qui était dépêché sur place a même posté un message sur Twitter qui laisse présager du meilleur:
"Excellents contatcts ces derniers jours à Mexico City,2011 s'annonce excitant pour la TNA au Mexique..."
On pourrait donc voir, ou découvrir pour certains, quelques uns des meilleurs lutteurs de la AAA en crossover avec la TNA, la meilleure nouvelle en provenance de la compagnie de Dixie Carter depuis un très long moment!


Parce que la fédération de Stamford n'est pas que cette machine ultra médiatique sans âme, et que son boss n'est pas qu'un Terminator sans cœur, nous clôturerons cette tranche de news avec cette marque de respect de Vince McMahon envers Mick Foley, le boss à autorisé la publicité du dernier livre du grand Mick "Countdown to lockdown", pendant une émission de la WWE (RAW), alors que celui ci fait parti des cadres de la TNA. Pourquoi donc? Pour le remercier de son implication et de sa fidélité du temps où il était chez lui. Tout simplement.

Et à bientôt pour autre tranche de news...

Bannister.

Matt Hardy, personnalité multiple?

Où l'on reparle de Matt Hardy et de son passage difficile.
D'ailleurs, doit-on parler de Matt ou de Matthew Hardy?
Et oui parce qu'il semble, d'après une vidéo de Matt Hardy postée sur Youtube, et dans laquelle il s'exprime, il semble, donc, que ces dernières années, l'aîné des Hardy's ait pu souffrir de dédoublement de la personnalité...rien que ça. On peut le croire, puisque c'est son médecin qui lui a dit que cela pourrait être possible.
Alors qui est Matt Hardy, du coup? Il le dit lui même:
"Matt, c'est le catcheur que tout le monde connaît, celui qui respecte les règles, alors que Matthew, lui, c'est le rebel, le violent, celui qui se fiche de ce que les autres peuvent dire ou penser sur lui..."

Mais comment en est-il arrivé là ce Matt/Matthew? Mais à cause de la WWE, bien sûr!
"Ces dernières années ont été dures, stressantes, c'est là que c'est arrivé, c'est à cause d'eux..."


On en vient alors à se poser quelques questions : est-ce que Matt Hardy est en train de proposer à la WWE un angle pour son retour ? Est-ce que cette histoire de double personnalité est un plan fait avec la WWE, et mis en place depuis si longtemps? Ou est-ce que Matt Hardy n'est pas complètement paumé et ne sais plus quoi faire pour qu'on parle de lui?

On doute tout de même que cette storyline ait été pensé conjointement avec la WWE, vue la longueur...

Bannister...ou peut être pas.

Hell in Cell 2010 : une partie des matchs.

Le 3 Octobre, à l'American Airlines Center, aura lieu le Hell in a Cell.
Pour l'instant, les matchs prévus sont:

John Cena vs Wade Barrett , si Cena perd, il rejoint la Nexus, si il gagne, la Nexus est dissoute.

Kane vs The Undertaker, pour le championnat poids lourds, avec le retour de Paul Bearer, on voit mal le Phenom passer à travers son match, mais en enfer, tout est permis!

Daniel Bryan vs The Miz vs John Morrison, pour la ceinture US, pour l'instant le match le plus attrayant!

Sheamus vs Randy Orton, pour la ceinture WWE, Orton vit mal son face turn, Sheamus se régale en Heel, un match ouvert.

Plus de détails bientôt...

Bannister.

Hell in Cell : une partie des latchs

Héroes Immortales IV: masques contre cheveux, et ceinture mixte par équipe.

Les dirigeants de la Triple A ont annoncés pour les "Heroes Immortales IV", le 1er Octobre une avalanche de matchs à enjeux, les fameux Lucha de Apuesta, avec pas moins de 8 gladiateurs qui mettront en jeu leurs masques et leurs chevelures! Au programme:
El Elgido avec La Fuerza Aérea (formée par Super Fly, Laredo Kid et Aerostar) contre La Milicia (composée de Decnnis, Billy Boy, Alan Stone, et Chris Stone) !

Aerostar fut le premier à réagir après cette annonce: "Je suis très confiant, nous allons prendre un très grand plaisir à mettre la milice au tapis, ces traîtres méritent un châtiment, et, avec La Fuerza Aérea et El Elegido nous le leur donneront très volontiers."


Autre match prévu, le championnat par équipe mixte. Détenu par Alex Koslov et Christina Von Eerie, qui font partie du groupe de La Legion Extranjera. Champions depuis le 2 Juillet, après avoir battu la paire Faby Apache-Aerostar, sur une erreur de Faby Apache, ils remettent la ceinture en jeu, de nouveau contre Faby Apache laquelle ne sera pas associée à Aerostar, cette fois, ce dernier étant pris dans le match à enjeu à 8 catcheurs. C'est donc avec un associé inédit que Faby tentera de récupérer le titre, et d'effacer par là même son erreur. Son co-équipier ne sera pas un inconnu pour Koslov, tout au contraire, puisqu'il s'agit de Pimpinela Escarlata, avec lequel il s'est souvent confronté devant les caméras.


Bannister, fuego!!

Percy Pringle...mais oui vous le connaissez!

On ne s'y attendait pas lors du dernier Smackdown, nous, comme une bonne partie de la profession, tant la WWE avait bien gardé le secret, mais c'est bien lui: Percy Pringle alias Paul Bearer est de retour!!
L'urne à la main, le manager de l'Undertaker fait donc un retour plus que remarqué, et en parlant de surprise, Bearer se pose en premier surpris lors de sa dernière interview:

"Il y a 4 mois la WWE m'a appelé pour me demander si cela m'intéressait de revenir à la compagnie. J'étais totalement scié!
Depuis mon retrait en 2004, je ne me voyais plus du tout entrer à nouveau dans le circuit, et encore plus depuis la mort de ma femme l'an dernier. J'avais repris à plein temps mon travail dans le service funéraire, ce que peu de gens savent, c'est que je suis diplôme en science mortuaire, embaumement et j'ai dirigé un crématorium et un salon funéraire, ici, dans le Gulf Stream.
Et puis au printemps 2010, je me suis dis que j'allais jeter un œil, par curiosité, dans ce monde du catch que j'avais laissé voilà des années. J'ai donc commencé doucement à travers de petits évènements, des signatures d'autographes, pour voir si la passion était toujours là...et bien sûr qu'elle l'était, elle le serait toujours. Je me suis rendu compte que ces apparitions me sortaient de la solitude dans laquelle je m'était enfermé après la mort de ma femme, Diana. Je retrouvais le plaisir.
Dire que les choses ont évoluées depuis mon retrait du monde du catch, il y a 6 ans, serait un euphémisme. Mais j'en ai discuté avec mes proches, et je me suis promis que si les discussions se passaient bien, que toutes les pièces du puzzle étaient réunies, alors ça serait un signe qu'il faut que je saute le pas. Et tout s'est bien déroulé, j'ai dû passer les examens d'usages, et finalement, la seule question que je me sois posé fut: "Qu'est-ce que Diana en aurait pensé?", et la réponse me sauta aux yeux, elle aurait dit sans aucun doute: "Remets ton cul sur la route!!" Alors...

Et bien me voilà. Mon contrat à été validé la 1er Août, et le tout, dans un secret qui a été extrêmement difficile à protéger. Bien sûr, beaucoup m'ont posé des questions sur les stipulations de mon association avec la WWE, et , désolé, mais la seule chose que vous saurez est que la WWE m'autorise à apparaître dans des évènements indépendants, si je le désire, et si ceux-ci n'interfèrent pas avec notre planning. Et à côté de ça, je peux me sentir vernis, à 56 ans, d'avoir la chance de retrouver le haut niveau de ce métier.

Mon nouveau début à Smackdown, est une histoire dans l'histoire ensuite, depuis ma chambre dans un hôtel très discret, ma planque dans les vestiaires jusqu'à ma sortie sous les lumières, bon nombres de catcheurs prévus ce soir là ne savaient même pas que serais présent.

C'est un nouveau chapitre qui s'ouvre dans ma vie. Et je me dois de vous remercier, vous les fans, qui avez fait connaître ce personnage Paul Bearer, et aussi ceux qui, à la WWE ont fait confiance à mon style "old school". Peu importe le temps que ça durera, une semaine, un mois, 5 ans, tout sera bon à prendre.

Comme toujours, je ferais mon possible pour être accessible, et je répondrais encore aux mails, le temps que je pourrais. Même si je ne vous donnerai pas toutes les réponses à toutes vos questions. C'est comme ça."


Un retour qui fait plaisir.


Bannister.

Mick Foley en pré-retraite, Morrison blessé...et Tara aussi!

Mick Foley n'est pas le genre de catcheur à jouer petit bras, loin de là, et après une carrière intense dans tous les sens du terme, il aspire aujourd'hui à un repos bien mérité, en ce qui concerne les combats en tout cas: "Pour la meilleure des fins, dans le meilleur des mondes, vous ne devriez plus me voir sur un ring après le 7 Octobre." Date de son match évènement face à Ric Flair. Il ajoute:
"Il ne faut jamais dire jamais, mais ce serait le match idéal pour arrêter, le type de match où je peux me sublimer, et où Ric Flair peut tirer le meilleur de moi, et ça sera la dernière fois que je mettrai un pied sur un ring."

Pendant le show WWE en France, John Morrison s'est blessé le genou. Les examens sont encore en cours, et quelques jours après, si la douleur est moins présente, elle reste néanmoins vive lors de certains mouvements.

Décidément c'est la série, à la TNA, Tara n'a pas pu assurer son combat prévu contre Angelina Love, elle s'est en effet blessée au coude, et a dû partir en urgence à l'hôpital.


Bannister.

Giant Gonzales, un géant s'éteint.

Jorge Gonzalez est mort le 22 Septembre à 44 ans, des suites de complications de santé liées à son diabète.
Ex basketteur, passé par les Hawks, il est repéré par leur propriétaire, Ted Turner qui l'invite dans le monde du catch. Il débute à la WCW en 1990 et feude pendant un long moment avec Ric Flair.
Gonzalez n'était pas un grand catcheur par le talent mais avait pour lui une présence indiscutable, sa taille y faisant pour beaucoup (environ 2m30). La WWF, future WWE ne s'y trompe pas et le fait signer en 1993 pour une carrière, certes éclair, mais marquante, notamment dans ses confrontations avec l'Undertaker.
Après un tour par le Japon pour la New Japan Pro Wrestling, le catcheur argentin quitte les rings en 1995.


Bannsiter.

Edge allume la mèche, et Christian se blesse...

Edge avait-il besoin de s'étaler via son Facebook, sur la TNA? Toujours est il que, alors qu'il s'épanchait sur son désir de revenir dans la ligue bleue de Smackdown, la superstar classée X, en a profiter pour faire un petit crochet vers la TNA : "Toute la TNA peut bien m'embrasser le cul, la WWE est de loin la meilleure, et tout spécialement en ce moment. c'est une bande d'utilisateurs de stéroïdes." Fin du poème.


Attention, spoiler du dernier Samckdown du 17/09.
La blessure de Christian n'était pas feinte, il a bien subit une déchirure pectorale pendant sa confrontation contre Alberto Del Rio. Le bilan est lourd pour le mid carder, puisqu'il devrait être hors du ring pendant environ 6 mois.


Bannister.

Tranche de news WWE : ils y étaient...

Elle y était, elle n'y est plus! Mickie James quitte la WWE et prend le chemin de la TNA après un accord passé avec Dixie Carter, démarrage sous peu avec en ligne de mire le PPV Bound For Glory le 10/10.

Il y était, il y reviendrait volontiers! C'est JBL qui le dit, dans un entretient pour le "Right after Wrestling" : "Je suis un type de la WWE, je n'ai rien contre la TNA et les autres, alors si la WWE m'appelle pour me proposer un truc, je le ferai probablement."

Il y était, et il en a eu marre! Shelton Benjamin revient pour nous sur sa fin de parcours à la WWE, via son Twitter : "Si je pense que j'aurais mérité d'être champion du monde? Bon sang OUI!Est ce que j'ai été sous utilisé? Sans aucun doute. Est-ce que j'ai une chance avec la WWE? NON! J'ai besoin d'être loin de la WWE pour pouvoir évoluer en tant que "performer". Il y a beaucoup de choses qui craignent dans cette compagnie, mais je n'ai pas le temps de m'étaler là dessus.

Il y est toujours, et on risque de le voir un peu plus! Il s'agit de Zack Ryder, que la WWE a choisi de "pusher", influencée directement par la série US "Jersey Shore" ( télé réalité sur les aventures de jeunes adultes en colocation au bord de la plage).

Et à bientôt pour une prochaine tranche de news.


Bannister, en tranche et sans la croûte.

Shark Boy, le sourire du requin.

C’est un catcheur atypique et très attachant que ce Shark Boy, alias Dean Mathew Roll.

Roll débuta sa carrière en 1997, et déjà masqué, sous le nom de El Piranha, à la Heartland Wrestling Association (HWA), après deux années d’entraînement avec Les Thatcher, dans son école de catch pro, la Main Event Pro Wrestling Camp (Umaga, Jimmy Wang Yang, ou encore Charlie Haas sont également passés par là). Il apparaît à la HWA aussi sous les traits, et sans masque, d’un autre personnage, Dean Baldwin. C’est l’année suivante, alors qu’il intègre la Independant Wrestling Association (IWA), qu’il développe son personnage de Shark Boy. Il participe à plusieurs émissions de télé, et documentaires, en 1998. Dans la foulée, il décide de protéger son idée, et dépose le nom de Shark Boy, pour devenir le seul propriétaire de son personnage.

Il participera dès 1998 à plusieurs éditions du Brian Pillman Memorial Show (en l’honneur du catcheur Brian Pillman décédé d’un arrêt cardiaque en 1997), un spectacle qui voit s’affronter des catcheurs venus du circuit indépendant et d’autres venus de fédérations majeures (ECW, WWE, WCW), dont les fonds vont aux enfants de Pillman. Shark Boy remporte le show en 1999. Doté d’une très solide base de fans, proposant un catch racé, et sachant faire le show, Roll va décrocher son premier ticket dans une grosse fédération de l’époque, la World Championship Wrestling (WCW), une expérience qui durera six mois. C’est la World Wrestling All-Stars (WWA) qui fait ensuite appel à lui, il croise là bas certains futurs grands noms comme Kazarian, A.J Styles, ou Christopher Daniels, et voyage en Europe, où il étoffe encore son noyau de fans. Suit un court séjour à la Xtreme Pro Wrestling (XPW), avant de plonger dans le grand bain de la Total Nonstop Action Wrestling (TNA) à partir de 2002. Il débute dans la X-Division par la petite porte des jobbers, il catch ensuite en équipe, sans trop de succès, entre autre avec le spécial Curry Man. Il fait en parallèle un bref passage à la World Wrestling Entertainment (WWE), suit une Kayfabe à la TNA qui le voit plongé dans le coma suite à plusieurs blessures, avant de revenir un peu atteint dans une parodie de Stone Cold Steve Austin, un Stone Cold Shark Boy, en somme.

Sa première évolution à la TNA commencera avec ses prises de parole au micro (on ne l’entendait pas avant). Après cela il participe au Pay Per View (PPW) de la TNA TerrorDome, où une blessure (bien réelle) le tiendra éloigné des rings un moment. Il intègre à son retour une équipe de pourfendeurs de méchants catcheurs, la Prince Justice Brotherood, avec Curry Man et Super Eric, une équipe aux succès mitigés.

On le voit ensuite de moins en moins aux avants postes, reprenant, au grand désespoir de ses fans toujours fidèles, son rôle de jobber ou dans les rares bons jours, de Mid Carder. Il participe fréquemment à l’émission web Spin Cycle diffusée sur le site de la TNA, et il lui arrive de laisse un billet d’humeur sur F4Wonline.com, sous le pseudo deadseadrop.

Dean Roll a ouvert une école de catch professionnelle en 2004, The Shark Tank, en Ohio.

L'Ange Blanc, des ailes de légende.

Pour ceux qui ont, ou ont eu, la chance d’avoir des parents ou des grands parents qui aimaient le catch dans leur prime jeunesse, vous avez certainement entendu parlé de « l’Ange Blanc », dans un élan de nostalgie, pendant que vous regardiez votre catcheur préféré se lancer dans un finisher d’un autre monde, du haut d’une échelle. L’Ange Blanc ? Mais qui était-il ce lutteur, pour que l’on en parle encore aujourd’hui ? Comment est-il entré dans la légende ? Comment, nom d’un chien, l’Ange Blanc pouvait-il se retrouver à lutter un même soir…dans plusieurs ville différentes ?......

Nous sommes dans les années 50. Dans cette France de l’après guerre, on a besoin de croire de nouveau, on a besoin de se sentir revivre, d’avancer, de rêver. Venu du Mexique, en passant par l’Espagne, une nouvelle forme de lutteur vont naître sur le vieux continent : les catcheurs masqués. Parmi eux, l’ultime référence, un véritable fantasme social, un tourbillon de justice et d’honneur : « L’Ange Blanc ». Dès ses débuts, l’Ange Blanc impressionne, masque, cape, tout est immaculé, il prévient : il est ici pour tancer les mauvais garçons, avec lui, les méchants seront châtiés. Fin technicien, belle prestance, ce catcheur mystérieux met le feu aux poudres : des femmes s’agenouillent à son passage, on lui baise les mains, il incarne le héros, le sauveur par excellence, un ange purificateur fantasmé qui sort des frontières du sport pour envahir tous les supports publicitaires de l’époque, on se déplace en masse voir ses combats, jusqu’à 15000 personnes en une soirée évènement, il atomise les entrées des meilleurs matchs de boxe de l’époque ! L’Ange Blanc est partout et est même engagé pour suivre le tour de France de cyclisme, combattant un méchant à la fin de chaque journée. Tous les mauvais garçons sont tombés devant l’Ange Blanc, le terrible Bourreau de Béthune, Roger Delaporte ou encore Popoffh le Gitan, entre autres ont goûtés aux coups de l’icône, et à l’époque, les coups étaient tout de même portés, certes à un niveau convenable, mais assez pour être bien sentis (coup de pieds chassé, double nelson…) se rapprochant par là du catch japonais ou mexicain.

Devant tant d’ardeur et de demande, la tentation fut trop grande de multiplier les apparitions du lutteur : jusqu’à sept villes purent l’accueillir dans la même soirée, une aubaine masquée, en somme, et un étendard fabuleux pour sa fédération : la Fédération de Catch Professionnel (il existait à l’époque 4 fédérations différentes, mais les combats étaient en commun.).

Alors, pour l’Ange Blanc, le vrai, ça suffit. Il tombe le masque, son nom ? Francisco Pino Farina. Il laissera le personnage à d’autres (Charles Eltes ou Gilbert Péchard par exemple). Mais désormais Francisco catchera à visage découvert, avec bien sûr bien moins de fan mais avec tout autant de plaisir et bien d’autres succès.

Francisco Pino Farina s’est éteint au début des années 80, il restera comme le premier Ange Blanc, celui qui a transfiguré les foules, tout de blanc vêtu, un lutteur au masque, un masque de légende.

Bannister, blanc comme un linge.

Mistico, icone de la Lucha Libre.

Fin d’année 2009, tremblement de terre dans les rédaction de catch : la WWE aurait réussi à signer l’un des catcheurs les plus doués de l’histoire, Mistico. Tous ceux qui le connaissent commencent à s’enflammer, puis on le donne partant pour la branche développement de la WWE…Mistico à la FCW ? Finalement, renseignements pris, c’est un autre « Mistico » que la WWE a engagé, Mistico de Juarez.

Cette petite histoire pour dire quoi ? Et bien pour souligner déjà la célébrité de ce catcheur, et l’attente qu’il provoque, même de la part de ceux qui l’ont rarement vu (à ce titre, merci Internet)….

Mistico est né le 22 Décembre 1982, à Mexico. Il grandit dans le quartier de Tepito, dans une famille de lutteurs. Son père, connu sous le nom de scène de Dr Karonte est son premier entraîneur, c’est grâce à lui que le jeune Mistico peut débuter sa carrière dès l’âge de 13 ans (profitant également d’une certaine tolérance au Mexique pour ce sport). Son Oncle, Tony Salazar est aussi un soutient important et prendra par à son entraînement, ancien catcheur, il est aujourd’hui un officiel très influant à la CMLL.

Mistico débute donc officiellement un 30 Avril 1998 à Mexico City, il rend hommage à son père en reprenant son nom, comme cela se fait souvent dans la Lucha Libre, et devient le Dr Karonte Jr. Il changera plusieurs fois de nom après ça, Astro Boy au début des années 2000 (en hommage à un frère disparu), où il commence à faire parler de lui et ébauche son style, ou encore Komachi lors de son passage au Japon en 2003 à la NJPW (New Japan Pro Wrestling), puis en 2004, naît Mistico. A la création du personnage de Mistico, on lui offre un mentor de taille : Fray Tormenta, de son vrai nom Sergio Gutierrez Benitez, également prêtre et responsable d’un orphelinat, qui a inspiré plusieurs personnages de fiction (celui de Nacho Libre, ou l’Homme au masque d’or au cinéma, mais aussi dans le monde des jeux vidéos : King dans Tekken, ou encore Tizoc de Fatal Fury). Mistico sera donc issu de l’orphelinat du père Guttierez, lequel se chargera également de son entraînement. La légende peut s’écrire. Il démarre à la CMLL en équipe, avec Volador Jr et Misterioso 2. Dès sa première année il gagne le titre par équipe (avec El Hijo del Santo) à Gran Alternativa. Ce dernier y fera même l’éloge de son jeune partenaire. Il décroche son premier titre majeur un an plus tard, Champion du monde des lourd-légers pour la NWA (National Wrestling Association) partenaire à cette époque de la CMLL. En deux ans, Mistico va devenir la star de référence, son style hors norme, mélange de rapidité et de haute voltige spectaculaire, électrise les foules. Une célébrité qui déborde des rings, avec, entre autres produits dérivés, une bande dessinée que l’on s’arrache, et surtout qui dépasse les frontières, ce qui lui vaut d’être souvent sollicité par la WWE, ou la TNA, sans succès jusqu’à maintenant, il faut dire que la CMLL fait tout pour ne pas lâcher son poulain. En 2006 il intègre le classement du « Wrestling Observer » et devient leur « Meilleur Catcheur de l’année » ainsi que le « Meilleur Voltigeur », il est aussi présent dans le prestigieux « Pro Wrestling Illustrated » qui le classe troisième meilleur catcheur de l’année 2007 sur 500. Il enchaîne les titres en solo mais aussi en équipe. En 2008 il repart au Japon et fait évoluer sa connaissance technique avec Mike Martello et Yu Shaoyi à travers plusieurs disciplines traditionnelles, avant de prendre part à des matchs pour le compte de la NJPW (New Japan Pro Wrestling). Une tournée qui dure à peu près deux ans.

En Décembre 2008 à Armageddon, show de la WWE, on voit Rey Mysterio appliquer dans son match « La Mistica », finisher exclusif de Mistico. Hommage ou emprunt ? En tout cas Mistico lui rendra la politesse en intégrant dans sa panoplie de techniques le fameux « 619 », peu de temps après.

Mistico est un « Tecnico » (face, un gentil), mais en ce début 2010, les fans vont être cueillis. En effet, en Janvier 2010, lors du « Torneo internacional de Parejas incredibiles », un show de la CMLL où un « Tecnico » fait équipe avec un « Rudo » (heel, un méchant), et représentent une région du Mexique, on retrouve Mistico en paire avec Averno, un de ses pires ennemis. Un Mistico plutôt très à l’aise, arborant une tenue inédite, mélangeant ainsi leurs styles avec Averno. Le duo évolue même parfaitement bien, tant en entente qu’en complémentarité au cours des matchs. Un « Rudo Turn » pour Mistico ? En tout cas, le préféré des foules va aller loin, attaquant Volador Jr, avec lequel il a souvent fait équipe, lors de leur deuxième match, il fait gagner son équipe par un geste interdit. Il dira plus tard « C’est une guerre de région, et en guerre, tout est permis ». Ses premières huées. Mais pas ses dernières. Une feud débute avec Volador Jr, et Mistico prouve définitivement qu’il tourné sa page « Tecnico ». Un Mistico méconnaissable, vicieux et méchant, qui s’acharne sur les masques de ses adversaires. Il perd ses deux premières confrontations avec Volador Jr, et perd également son titre de Champion Lourd léger du Mexique. La rupture est consommée, Mistico ouvre un nouveau chapitre en tant que Rudo, et se proclame « Le plus grand catcheur de Lucha Libre ».

Une période floue pour le lutteur qui assume mal son statut de mauvais garçon, et comme un signal, les créatifs de la CMLL, de leur côté, gère mal le personnage de Mistico Rudo. Mistico reprend donc petit à petit sa transition de rudo vers le tecnico, alors que Volador Jr, fait le voyage inverse, à son tour!

Mistico peut désormais se redonner bonne conscience, il est redevenu tecnico, mais son passage forcé du côté sombre à tout de même laissé des traces dans les mémoires.

Bannister masqué.

Necro Butcher, le Hardcore comme Religion.

Il existe des noms de ring qui claquent plus que d’autres, le Necro Butcher est de ceux là. Faisons un petit peu de grec (deux secondes, partez pas en courant) : necro vient de nekros, la mort. En anglais « butcher » veut dire boucher, je vous laisse associer les deux mots. Mais là où un simple catcheur se contenterait d’un nom avec un fort impact, le Necro Butcher aligne ses prestations au niveau de son nom de scène (ou presque).

Dylan Keith Summers, de son vrai nom, né le 13 Juillet 1974, à Morgantown (Ouest de la Virginie) a choisi une voie du catch très particulière qui est celle du hardcore et de l’ultraviolence. Et ne vous y trompez pas, cet homme qui a plus l’allure d’un pilier de bar que d’un catcheur est bel et bien une référence dans son domaine.

La carrière du butcher démarre en 1998, après 4 ans d’armée. En trois ans il se forge une petite réputation dans les fédérations indépendantes en tant que lutteur hardcore, d’abord sous le nom de Private Dylan Summers, puis Private Dylan Sanders, avec un gimmick de soldat, et à partir de 1999, du Necro Butcher, sur une idée de David Farmer, promoteur d’une nouvelle fédération de catch : la Insane Hardcore Wrestling (IHW). Il grimpe très vite dans ses premières fédérations, devenant champion à la IHW puis à la TCW, quittant cette dernière après une bagarre (réelle) avec son promoteur.

Début des années 2000, le Necro Butcher est enrôlé à la IWA Mid South, et va gagner en visibilité et accroître plus encore sa réputation, au-delà de l’underground des fédérations hardcore, y laissant souvent du sang et quelques lambeaux de chair, contre des matchs d’anthologie (nottament contre Samoa Joe et Low Ki) et deux titres : Le roi du Deathmatch (2002) et l’IWA gold pour un Death Match Title (2007).

A partir de 2002 CZW (Combat Zone Wrestling) va faire appel à lui pour son tournoi sanglant : le Tournoi de la Mort, dès sa première édition en 2002.Il y perdra assez tôt, mais sent que ce tournoi est fait pour lui, et grimpant dans les tours, s’agrippant à chaque nouvelle édition, il est enfin récompensé à son quatrième essai et devient le premier catcheur à avoir gagné deux tournois majeurs du hardcore, le King of Deathmatch, et le Tournament of Dead.

Slalomant facilement d’une fédé à une autre, le Necro Butcher intègre la JCW (Juggalo Championship Wrestling) en 2003, pour le tournoi Gathering of the Juggalos. Censé être filmé pour une retransmission, le tournoi s’avéra particulièrement entaché de plusieurs échauffourées entre fans, créant la confusion et rendant l’ enregistrement très peu exploitable. C’est à la JCW que le Necro Butcher trouve son meilleur partenaire en équipe. En effet, après s’être affrontés pour la première fois à ses débuts, puis une paire de fois ensuite, Mad Man Pondo et le Necro Bucther décident de s’associer en double. Une série de matchs qui aboutit au titre de la JCW de champions par équipe, malgré une animosité qui refera surface. L’équipe se séparera quand le Necro Butcher intègrera le ROH (Ring Of Honor) en 2006. Il y fait une apparition tout d’abord lors d’une invasion de la CZW sur la ROH, puis en devient un membre officiel dès l’année suivante. Le Wrestling Observer Newsletter Awards lui a décerné le prix de Brawler de l’année par deux fois, en 2008 et 2009, prouvant que le Necro Butcher pouvait catcher sans avoir forcément besoin d’éclater des néons, de frictionner avec des barbelés ou d’exploser des vitres. On peut le voir un court moment dans le film « The Wrestler » avec Mickey Rourke, pendant des séquences filmées à la ROH. Le Necro Butcher est un adepte du Chokeslam, dont il distille de subtiles variations, qui pourraient être invisibles à l’amateur, mais, comme il le dit, « que les experts devraient apprécier ». Il y met pour cela beaucoup de travail et de concentration. Dans un entretien en 2007 pour « WrestlingFever » Summers se dit prêt a catcher dans les shows de la TNA ou de la WWE, mais serait surpris qu’ils fassent appel à lui un jour, à cause de sa sanglante réputation.

Bannister dans les barbelés.

Tranche de news TNA!

La Team 3D via son Facebook a signalée que la fin de son association avec la TNA pourrait être proche : " une difficile décision à prendre prochainement. Si vous habitez vers le Nord Est, c'est probablement la dernière fois que vous pourrez nous voir." Suivent les trois dates de déplacements avec la TNA.

Le 23 Octobre aura lieu un atelier de travail de la TNA, en vue de dénicher les talents du futur, les places sont limitées, et seront présents pour les évaluations D'Lo Brown et Jeff Jarret en personnes! Êtes-vous le prochaine star de la TNA?...

Au prochain Bound for Glory, Jeff Hardy effectuera son entrée sur une nouvelle musique.

Il se dit que Dixie Carter serait rentrée en contact avec Scott Hall, actuellement en réhab pour divers problèmes de médicaments et d'alcool, entre autres, pour lui signifier qu'il y avait toujours une place pour lui à le TNA...

Bannister.

Hell in a Cell : le destin de John Cena

Au prochain PPV de la WWE, au milieu de la programmation, à travers la sueur, les projecteurs, et les fans, se jouera le futur de John Cena à la fédération.
Un vrai tournant pour celui qui n'abandonne jamais et qui affrontera Wade Barrett, tête pensante de la Nexus. L'enjeu : Cena intègrera la Nexus en cas de défaite, ou la Nexus sera dissoute en cas de victoire de Cena.
On l'a vu lors d'un message précédent, les créatifs doivent s'occuper du personnage Cena qui stagne depuis maintenant trop longtemps.
Soit le Heel turn annoncé s'enclenchera lors du Hell in a Cell, soit Cena verra son avenir s'assombrir chez McMahon, sur le moyen terme en tout cas.


Bannister never give up.

Night Of Champions : Les Résultats!!

On demandait des surprises? Nous fumes servis!!!

En dark match, Morrison def Ted DiBiase.

Intercontinental Championship:
Dolph Ziggler def. Kofi Kingston et reste champion.


Big Show def. CM Punk en moins de 5 minutes.


US Championship:
Daniel Bryan def. The Miz (c) pour mon plus grand plaisir...


Lumberjill Match for the Unified Diva and Women Championship:
Michelle McCool def. Melina dans un match où toutes les autres divas de la WWE étaient des lumberjacks. Elle a gagné grâce à une distraction de Layla.

La surprise de l'année:
No Holds Barred Match for the World Heavyweight Champions:
Kane def. Undertaker, vous avez bien lu.


5 Tag-Team Turmoil Match for the Unified Tag Team Championship:
The Usos éliminent la Hart Dynasty
The Usos éliminent Kozlov et Marella
Evan Bourne et Mark Henry éliminent The Usos
"Dashing" Cody Rhodes et Drew McIntyre def. Bourne et Henry, dommage pour Bourne.


6 Pack Challenge Elimination Match for the WWE Championship:
Orton élimine Jericho ( en 2 minutes, Jericho serait-il sur le départ à la WWE?)
Cena élimine Edge
Barrett élimine Cena (un Cena en baisse à la WWE)
Orton élimine Barrett
Orton def. Sheamus pour devenir WWE Champion

Orton nouveau champion WWE, Kane champion poids lourds et Bryan champion des USA, voilà un show qu'il ne fallait pas louper!!

Night Of Champions : le programme.

C'est Dimanche, le "D" Day aux States pour le PPV de la WWE : Night of Champions.
Au programme :

Sheamu vs Wade Barrett, vs John Cena, vs Randy Orton, vs Edge, vs Chris Jericho, dans un match à élimination pour la ceinture WWE.
Le Phenom Undertaker vs Kane, dans un No Holds Barred Match, pour le titre poids lourd, et surtout, pour un point final à l'affrontement?

The Miz vs Daniel Bryan, pour le titre de Champion US.

Dolph Ziggler vs Kofi Kingston, encore pour la ceinture intercontinentale...

The Big Show vs C.M Punk, juste pour le plaisir.

The Hart Dynasty vs une équipe mystère (la rumeur parle de Cody Rhodes et de Drew McIntyre) pour le titre par équipe.

Melina vs Michelle McCool, pour l'unification des ceintures féminine et diva.

Un show qui devrait réserver un bon lot de surprises (Ah, si Bryan pouvait gagner ce titre!), tant les matchs sont alléchants (sauf peut être le Ziggler-Kingston, trop utilisé). S'il est fidèle à sa réputation (et il l'est toujours), l'Undertaker devrait nous livrer une prestation d'anthologie avec Kane!

Bannister in peace.

Shawn Michaels au coin du feu.

C'est notre retraité préféré, qui prend la parole pour répondre en vrac, à quelques questions qui reviennent souvent dans la bouche des fans, via son Twitter, Facebook, ou son site theshawnmichaels.com. On peut le voir sur Youtube, le HeartBreak Kid à l'air en forme, même si, sous sa casquette MRA, et ses petites lunettes, il fait plus son âge que sous les projecteurs.


Dans le désordre, voici donc quelques extraits des réponses du HBK:

Concernant Triple H et son compte Twitter:
"Au jour d'aujourd'hui, il n'en possède pas. Il a pu utiliser le mien lorsqu'il le voulait, mais n'a pas encore son propre compte"

Son match préféré?
"Il y a plus qu'un match qui me sont chers(...)Mon match marathon contre Brett Hart, WrestleMania contre Kurt Angle (...) Le WrestleMania 19 contre Chris Jericho (...) et un match dont personne ne parle, c'était contre Randy Orton, avec la stipulation de na pas utiliser mon superkick, j'ai bien aimé ce match parce qu'il y avait une belle opposition de style, avec un combat au millimètre".

Sur le Général Manager de Raw:
"Est-ce que je suis le GM de raw? Non. Est-ce que je sais qui est le GM de Raw? Non. On ne m'a rien dit là dessus, et il y a une raison à ça, c'est parque que je n'ai rien demandé."

Pourquoi la retraite?
"Il le fallait, c'était obligé. C'était le bon moment pour le faire."

Et à quand le retour?
"Comme catcheur, jamais (...) par contre j'espère dans un futur pas trop lointain, pouvoir faire une apparition, ça je ne serais pas contre(...) En tout cas, si ça doit se faire ça sera uniquement à la WWE, vous ne me verrez jamais autre part, la WWE ça a été toute ma vie."

Concernant, enfin, sa vie de chrétien: est-ce dur? (Shawn est un New Born Christian, c'est à dire qu'il s'est ouvert à la religion catholique sur le tard, après un travail de repentance).
"Si il est dur d'être chrétien? La réponse est non. Cela a pu l'être au début, parce que je n'étais pas assez bon, mais c'est une construction. Je suis comme vous les gars, c'est un travail quotidien".

Et à bientôt pour d'autres news.

Bannister.

Matt Hardy : la série de l'automne!

En bon fans de catch, vous connaissez Matt Hardy et ses problèmes de reconnaissance avec la WWE, qui durent, qui durent, et qui durent, depuis quelques mois déjà.
Toujours le même chemin, Twitter, toujours le même Matt Hardy, qui n'en peut plus de sa condition et de son utilisation chez McMahon, et toujours la même réponse de la part de la fédé de Stamford : pas de polémique, pas de commentaire.

Comme à un moment donné, il faut quand même se décider, ça y est, la WWE a décidé de soulager l'amour propre de son vilain petit canard en le mettant à l'écart des rings, le temps pour lui de se reprendre ou de changer de crèmerie.
Le changement, justement, c'est le cri du cœur de Matt. Sur son Twitter, tout récemment, après qu'un fan lui ait demandé s'il envisageait de rejoindre son frère, l'aîné des Hardys a écrit : "il y a 100% de chance".
Alors, coup de pression par désespoir, ou prédiction?



Bannister in the bank.

René Ben Chemoul : le Tigre s'en est allé.

René Ben Chemoul, c'était le catch d'après guerre, le champion poids moyens incontestable. C'était une lutte dynamique (il fut formé à la lutte greco-romaine), des matchs d'anthologies, l'âge d'or.
"Le Tigre de la lutte", comme on l'appelait, aura bravé les coups et les blessures (environs 400 répertoriés, tout de même), pour inscrire son nom au palmarès de la lutte française et à sa noblesse.

Il a rejoint ces jours-ci d'autres illustres camarades au paradis des catcheurs, sur un ring éternel, un écrin dans les nuages, dans lequel le tigre rugira toujours.


Bannister.

John Cena : un Heel Turn programmé?

John Cena, c'est un peu la sucrerie de la WWE en manque de star. Un push énorme et de longue haleine lui a permis d'être là où il est aujourd'hui, ça, et une masse de travail conséquente. Il faut au moins lui reconnaître ça : John Cena est un gigantesque bosseur.
Le taulier Vince McMahon a mis du temps à s'y faire, mais il s'est amplement rattrapé ces dernières années au niveau merchandising et premiers rôles dans les productions WWE, même si Cena vend plus de babioles que d'entrées cinéma.
Et donc, Wrestlemania 27 approchant, on s'est rendu compte du côté de la fédération de Stamford, qu'aucune affiche, qu'aucun angle, qu'aucun main event ne se profilant à l'horizon n'était vraiment passionnant...et le divertissement, la WWE, c'est quand même sa marque de fabrique.
Du coup, branle bas de combat chez les créatifs, priés de pondre LA surprise qui saura rameuter les fans pour le prochain Wrestlemania, et ce qu'il en sort, pour le moment, serait ce fameux Heel Turn de Cena.
En soit, pourquoi pas, l'homme tourne un peu en rond dans ses feuds, et tourne un peu à vide dans ses objectifs.
L'affaire est délicate, car cela pourrait tourner au ridicule si c'est mal proposé, comme le heel turn, au mexique, du phénomène Mistico, mal géré par les créatifs (et aussi par le catcheur), qui n'a recueilli dans le public que de l'incompréhension, et à mis un sacré coup de frein au catcheur, en pleine gloire avant ça.

Bannister in a Cell.