vendredi 1 octobre 2010

VSD et le catch : Peut mieux faire...

Photo du magazine VSD.


C'est grâce à la partie de la couverture sur l'actrice Christina Hendricks, qui m'a fait littéralement tombé sur les genoux, que j'ai découvert le VSD d'hier. Détournant difficilement les yeux vers le bas du magazine, j'ai pu y voir que l'on y trouverait, également, un article sur le Catch, la "folie" du moment. Je me dis qu'un article relatif au catch dans un magazine à très grand tirage, avec une vision de l'extérieur, de journaliste, ça doit être intéressant.

Me voilà donc mon VSD sous le bras. Et puis, finalement, après lecture, je dois dire que c'est plutôt décevant. Alors, à l'entame de l'article, grosse photo avec la légende présentant John Cena en pleine action et un catcheur de la Nexus nommé... Evan Bourne. Bon. Déjà, ça commence mal, doublement, en plus, parce que, et d'un, Evan Bourne ne fait pas partie de la Nexus (je ne vous apprend rien) et de deux, le catcheur en photo, qui est effectivement dans le groupe Nexus, est en fait David Otunga. Soit, c'est pas l'erreur du siècle, mais c'est quand même de l'information...

Le contenu après ça, titré "Catch machine", plutôt court (une page pour l'article, le reste concernant quelques photos), se base ensuite uniquement sur la WWE et le business du catch, et donc, sorties les histoires de prix du billet, de management et de marketing, c'est la peau de chagrin pour ce qui reste.
Un petit point positif sur l'encart concernant Kevin Dunn, mais dans l'ensemble, c'est un survol d'une très grande hauteur sur le monde du catch, enfin, de la WWE, et sur son engouement.

Normal me direz-vous, il fallait s'y attendre. La promesse de la couverture est loin d'être tenue, surtout concernant les "rois du ring", mais le plus décevant, c'est qu'avec un minimum de recherche, même en se cantonnant à Internet, il y aurait eu matière à rendre cet article mille fois plus intéressant. Ici, à l'inverse, on a l'impression qu'on a pas cherché ce qu'était le catch, mais qu'on nous a lâché un truc vite fait, sans implication, et qu'on l'a mis en couverture juste pour augmenter les ventes.
Et à l'arrivée, pour qui ne connaît pas la catch, et qui lira le texte d'Antoine Dreyfus : le catch, ça vient des USA, ça se résume à la WWE, et à sa fortune.

Dommage.


Bannister machine.

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